Les câbles téléphoniques, c’est globalement du grand n’importe quoi. Prenez quelque chose qui ressemble a un poteau ; accrochez vos câbles au petit bonheur la chance ; félicitation, vous avez un poteau birman. Quand on veut passer un coup de fil (ça nous est arrivé plus d’une fois pour réserver des hôtels), il faut laisser sonner, réessayer et réessayer. Ca peut prendre 10 ou 15 minutes avant d’avoir une tonalité puis quelqu’un au bout du fil. Mais le plus amusant, c’est bien sûr la cabine téléphonique vivante. C’est-à-dire quelqu’un dans la rue avec trois téléphones fixes à disposition si jamais l’envie vous prend d’appeler un proche. Le branchement derrière mérite le coup d’oeil.
Une curiosité birmane à découvrir dans les rues passantes des grandes villes.